Paul Verlaine (1844-1896)
Rien ne diffère plus de la poésie parnassienne aux contours nets et précis que la poésie flottante, rêveuse, indéterminée, de Paul Verlaine.
De la musique encore et toujours!
Que ton vers soit la chose envolée
Qu’on sent qui fuit d’une âme en allée
Vers d’autres cieux à d’autres amours.
Verlaine a exprimé ce que le songe intérieur de l’âme a de plus vague et de plus alangui. Quelques pièces sont d’une douceur pénétrante, surtout celles où il traduisit ses regrets, ses remords, ses élans vers Dieu.
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