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Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) |
Notice biographique Né d’une famille protestante à Genève, le jeune Rousseau s’enfuit de la maison, est recueilli par Mme de WARENS et se convertit au catholicisme. Il va à Turin pour y étudier la religion et il y mène une vie misérable, insouciante parfois aussi humiliante.De retour chez Mme de Warens, il mène une vie de rêve : musique, études, promenades.Lorsque Mme de Warens le quitte, il va à Lyon, puis à Paris : il est précepteur, il invente un nouveau mode de notation musicale, il collabore à l’Encyclopédie et il fréquente les salons. Ce n’est qu’en 1750 qu’il connaît enfin la gloire avec son Discours sur les Sciences et les Arts. Il expose plus clairement ses idées sur la bonté naturelle de l’homme dans un Discours sur l’Inégalité. Invité par Mme d’EPINAY, il s’installe à l’Ermitage où il retrouve enfin la nature. C’est une période d’une activité créatrice intense pendant laquelle il travaille à l’Emile, La Nouvelle Héloïse et le Contrat Social. Dès lors, il se brouille avec ses meilleurs amis Grimm et Diderot et reprend sa vie errante qu’il continue jusqu’en 1770. Revenu à Paris, il vit pauvrement, toujours convaincu du complot universel contre lui. Oeuvres Discours sur les Sciences et les Arts (1750) Sa philosophie Rousseau dit que l’homme naît bon mais que c’est la société qui le corrompt. Il ajoute que le propriété est un mal de même que le développement des sciences. Tandis que les Encyclopédistes expriment leur foi dans le progrès et la raison, Rousseau exprime sa foi dans le coeur et l’intuition. Le seul remède de retrouver le bonheur est de vivre conformément aux lois de la nature. |
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Lettre à d’Alembert sur les spectacles
Cette lettre (1758), qui a l’étendue d’un petit volume, rompit les relations de Rousseau avec les Encyclopédistes. Elle fut provoquée par l’article Genève, inséré par d’Alembert dans l’Encyclopédie. Dans cet article, le philosophe conseillait aux Génevois d’établir un théâtre dans leur ville dans l’intérêt même des mœurs. Le théâtre était considéré alors comme une école de moralité d’où l’on pouvait répandre des doctrines qui devaient régénérer la société. Rousseau combattit cette idée avec une éloquence passionnée mais excessive; il attaqua le théâtre comme il avait attaqué les lettres, les arts et la société; au lieu de distinguer les bonnes et les mauvaises pièces, il les proscrivit toutes et flétrit le théâtre comme une école de corruption. Il prétendit voir, par exemple, dans le Misanthrope, la caricature de la vertu; dans l’Avare, une atteinte portée au caractère paternel. Voltaire et d’Alembert répliquèrent, mais l’attaque est restée plus célèbre que la réplique.
Rousseau – Anthologie |